C’est au début des années 80 que R.G marque son passage par des graffitis mappemonde sur les murs de Paris…Depuis lors, c’est à travers ses créations graphiques, ses films et ses voyages qu’il continue de peindre des cartes du monde.
Sa nécessaire et constante recherche de nouveaux espaces pour sa peinture, opposée à la fixité du tableau, l’amène à initier, en 1988, une œuvre nomade : la toile quitte son support-châssis, pour voyager autour du monde. Depuis, comme trait d’union entre les différentes communautés, la toile est confiée à d’autres voyageurs : elle passe de main en main, de pays en pays. L’histoire de cette toile devient alors une histoire de « tour du monde » comme œuvre ouverte et collective.
Dans son mouvement permanent, la toile crée des liens particuliers, tisse des réseaux dans différents tissus sociaux, provoque des situations d’échanges et des rencontres. Avec le temps, cette aventure constitue une collection d’images d’un mouvement centrifuge qui ne fait que s’agrandir. Ces témoignages photographiques redoublent l’image du monde dans le monde, son lien et son enjeu.
Aujourd’hui alors que ses voyages continuent, la carte du monde, sur un tissus, objet nomade, qui fait des arrêts sur image, comme autant de cartes postales témoin des voyages ; va devenir image multiple et empreinte d’autres chemins.
Sa nécessaire et constante recherche de nouveaux espaces pour sa peinture, opposée à la fixité du tableau, l’amène à initier, en 1988, une œuvre nomade : la toile quitte son support-châssis, pour voyager autour du monde. Depuis, comme trait d’union entre les différentes communautés, la toile est confiée à d’autres voyageurs : elle passe de main en main, de pays en pays. L’histoire de cette toile devient alors une histoire de « tour du monde » comme œuvre ouverte et collective.
Dans son mouvement permanent, la toile crée des liens particuliers, tisse des réseaux dans différents tissus sociaux, provoque des situations d’échanges et des rencontres. Avec le temps, cette aventure constitue une collection d’images d’un mouvement centrifuge qui ne fait que s’agrandir. Ces témoignages photographiques redoublent l’image du monde dans le monde, son lien et son enjeu.
Aujourd’hui alors que ses voyages continuent, la carte du monde, sur un tissus, objet nomade, qui fait des arrêts sur image, comme autant de cartes postales témoin des voyages ; va devenir image multiple et empreinte d’autres chemins.